Essais
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Marguerite Yourcenar
La passion d'aimer
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Marguerite Yourcenar reconnaissait avoir occupé une partie de sa vie à scruter le comportement des hommes afin de bien le connaître, d’en comprendre la richesse,
d’en éclaircir le mystère. Les hommes sont tous différents, néanmoins ils sont tous semblables et parmi les faits qui uniformisent la nature humaine, elle retint l’amour,
fût-il éphémère.
La romancière considérait qu’une vie ignorante d’un grand amour est incomplète, manquée, appauvrie. Aussi s’est-elle appliquée à trouver la meilleure définition
possible du prodige qu’est un amour partagé, à observer l’apparition et les exigences du désir, à peindre la fougue exaltée des grandes passions et tout autant
le drame de leur échec. Pour Marguerite Yourcenar, « l’amour est un des grands moments de la vie ».
Elle ne manqua pas non plus de s’intéresser aux amours illicites dont certains ne lui semblaient pas mériter l’opprobre qui pesait sur eux.
Enfin, elle trouva en son père l’exemple même d’un homme « qui vécut de préférence avec des femmes et pour des femmes ». Par ailleurs, elle donna un récit
poético-lyrique de son grand échec amoureux, une passion impossible à partager, ce dont elle souffrit amèrement.
Marguerite Yourcenar traite tous ces sujets avec délicatesse, avec décence ; ils ne peuvent heurter la sensibilité des lecteurs.
Chacun de leurs développements donne la preuve que le monde de l’érotisme qui, de façon éparse a droit de cité dans l’ensemble de son œuvre,
respecte une pudeur du meilleur aloi invitant ainsi d’autant mieux à en prendre connaissance.
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Jacqueline de Romilly
Marguerite Yourcenar
et la
Grèce Antique
Une passion commune
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La Grèce antique, objet d’une passion ? Tel est le cas avéré pour deux grandes hellénistes
du XX° siècle, Jacqueline de Romilly et Marguerite Yourcenar. Une passion fondée
sur une même admiration enthousiaste portée aux découvertes réalisées en Grèce au
V° siècle avant notre ère, le grand siècle de Périclès, le siècle dit « du miracle
grec ». Athènes inventa la démocratie, créa le genre tragique, compta d’illustres
poètes, s’enrichit comme toute la Grèce de merveilles architecturales et statuaires
inscrites au premier rang des chefs-d’œuvre de l’humanité.
Comment ne pas désirer connaître et faire connaître ce siècle prodigue en innovations
exceptionnelles, fondements de notre civilisation ? Jacqueline de Romilly a consacré
sa vie au service de cet objectif généreux, enseignant une langue, le grec qui excelle
à former les esprits, et une culture qui dispense de grandes valeurs civilisatrices
et morales. De son côté, Marguerite Yourcenar par ses traductions de poésies antiques,
par l’entremise de l’empereur Hadrien, fervent helléniste, par des confidences épistolaires,
témoignait de sa passion pour la Grèce. En revanche, au fur et à mesure que sa culture
s’élargissait, qu’en d’autres lieux du monde elle faisait la découverte de miracles
aussi prodigieux que ceux de la Grèce, le miracle grec perdit de son prestige à
ses yeux.
Ce livre propose un retour vers l’Antiquité grecque à partir des travaux que lui
ont consacrés deux femmes de lettres érudites, stylistes, deux historiennes lucides
et objectives, deux esprits supérieurs qui voient clair dans les faits, déchiffrent
avec perspicacité le comportement des hommes et constatent que celui-ci ne change
guère au fil des âges.
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photo: fonds Marc Brossollet
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Marguerite Yourcenar
Mon très cher père
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Michel de Crayencour, le père de Marguerite Yourcenar, fut un être « mystérieux
» et sa fille qui prit pour nom en littérature, Yourcenar, anagramme presque parfaite
de Crayencour, a tenté d’éclaircir ce mystère. Elle l’a fait par bribes, mémorialiste
des instants, des drames ou des joies. Fut-elle impartiale ? Elle privilégie les
bons côtés de son père auprès duquel elle a vécu de sa petite enfance jusqu’à l’âge
de vingt-neuf ans lorsqu’il l’a quittée au terme d’une longue maladie.
Michel de Crayencour reste aux yeux de sa fille un personnage « unique », tout à
fait à part dans l’uniformité quasiment universelle des êtres. Il n’est pas question
de le présenter comme un exemple. Il fut un cas particulier, « un grand vivant »,
« un être humain de la grande espèce ». Riche héritier, il dissipa ses biens auprès
des femmes et dans les salles de jeu ; il se grisa de voyages ; il s’étourdit de
divertissements sérieux ou frivoles sans négliger pour autant la belle littérature,
la poésie classique, les tragédies de Shakespeare ni l’éducation et la simple compagnie
amicale de sa fille. Son originalité mérite attention ; elle stimule la curiosité.
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photo: Irmelli Jung
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Marguerite Yourcenar
Un regard sur le monde
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Henri-Maximilien Ligre, personnage de L’Œuvre au Noir, ayant entendu un sergent
boiteux lui raconter les hauts faits qu’il avait accomplis en Italie sous le règne
de Charles VIII, se convainc qu’il était temps de tâter de la rondeur du monde.
Marguerite Yourcenar fut dès l’enfance entraînée à suivre cette consigne et son
naturel spontanément attiré par l’errance la lança sur les routes de l’univers.
Il faut dire qu’elle devait porter dans ses gènes le goût des voyages. Son père
a consacré une grande partie de son temps à voyager à travers l’Europe qui était
alors au début du XX° siècle un beau parc où les privilégiés se promènent à leur
gré, et où les pièces d’identité servent surtout à retirer les lettres de la poste
restante. Poussée par le vent qui déplace les nuages, Marguerite Yourcenar voyageait
toujours les yeux ouverts sur le ciel, la mer, les paysages, la faune, la flore,
les pierres, les villes, leurs vestiges ou leur développement vertigineux. De la
multitude des images incrustées dans sa mémoire, elle retint que la nature était
belle et avait un caractère sacré ; conséquemment il importe de la contempler avec
respect, d’où sa tristesse et son inquiétude lorsqu’elle voyait les hommes porter
atteinte à sa splendeur ou dilapider ses trésors.
Ce livre permet de parcourir le monde tel que Marguerite Yourcenar l’a observé et
de découvrir ce qu’elle a aimé, ce qui la navrait, ce qu’elle aurait voulu. En outre,
il rend compte du rôle que la nature a tenu dans l’imaginaire de ses rêves, de la
part d’esthétique qu’elle reconnaissait aux pierres, de l’attrait que les paysages
exerce sur les peintres et de l’éventuel animisme qui régit la vie de la faune voire
de la flore. Il montre aussi combien la romancière s’est intéressée aux empreintes
laissées sur le monde par les hommes occupés à construire des villes ou à les détruire
selon les aléas de l’histoire. Enfin, il rappelle que l’Académicienne entreprit
de lutter par ses écrits et par sa parole en faveur du respect de la nature. Elle
s’employa à rendre sensible aux hommes l’obligation de sauver la planète et de laisser
derrière eux un monde aussi pur et aussi beau qu’il leur fut donné.
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photo: Yousuf Karsh
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Marguerite Yourcenar
La difficulté héroïque de vivre
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La jeune Marguerite de Crayencour célébrait « la gloire de vivre ». Plus tard Marguerite
Yourcenar écrivain se contentait d’apprécier « le modeste plaisir de vivre ».
Les yeux ouverts sur le spectacle du monde, la romancière-historienne apprit
au fil du temps que la vie est difficile, parsemée d’obstacles, fertile en déceptions,
féconde en malheurs. De plus la perspective du grand voyage préoccupe voire tourmente
beaucoup d’esprits.
À aucun moment Marguerite Yourcenar ne tint le compte des épreuves qui jalonnent
toute aventure humaine, mais la lecture de ses œuvres –romans, essais, pièces de
théâtre, traductions... – permet d’inventorier les grands défis auxquels chacun
de nous peut se trouver confronté. L’essai de Marthe Peyroux, intitulé selon une
expression empruntée à Marguerite Yourcenar elle-même, La difficulté héroïque de
vivre, se propose de les étudier à partir de l’œuvre et des confidences
de l’écrivain.
C’est ainsi que les coups de dé du destin portent atteinte à la liberté de toute
existence qu’ils régentent en partie, que la passion, source d’un rayonnement primordial,
se heurte trop souvent au tourment du refus, au drame de la trahison, à l’hostilité
des circonstances quand elle n’est pas victime des diktats d’une morale ignorante
des exigences de la nature humaine, que La douleur du monde culmine sous
le joug de la guerre, la pire des sottises humaines. L’empereur Hadrien,
pacifiste, imaginait mal la disparition de ce fléau attisé par la haine de l’homme
envers l’homme. Devant la noirceur de ce tableau, le désespoir peut envahir l’âme
la plus maîtresse d’elle-même et la méditation sur la mort ajoute fréquemment au
désarroi de l’esprit qui ne parvient à résoudre ni l’énigme de son origine ni celle
de sa fin.
Néanmoins Marguerite Yourcenar, relayée par ses grands protagonistes, l’empereur
Hadrien, le médecin-philosophe Zénon, Nathanaël, l’homme obscur, fidèles porte-voix,
témoins ou victimes par le monde de tant d’horreurs bouleversantes, ne sombra jamais
dans le pessimisme. Elle adopta pour ligne de conduite, une acceptation sans passivité
ni défaitisme paralysant. Elle s’efforçait par son exemple et par ses écrits de
« préparer un monde plus propre et plus pur ».
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Livres disponibles chez
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Biographie de Marguerite Yourcenar
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Articles
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Bulletins de la Société Internationale d’Études Yourcenariennes
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N°4
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Paysages de l’Europe ancienne dans
Mémoires d’Hadrien
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N°14
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Marguerite Yourcenar, Marcel Proust et la grâce des songes
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N°18
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Nouvelles orientales, une guirlande de comparaisons
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N°22
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Marguerite Yourcenar, réminiscences stendhaliennes
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I
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Le banquier
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II
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La statuaire
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III
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La Rome piranésienne de Stendhal
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Bulletins de la Société Stendhal aujourd’hui
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H.B.V
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Marguerite Yourcenar et Stendhal, une affaire de méthode
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H.B.VI
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Hadrien vu par Stendhal et Marguerite Yourcenar
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H.B.VII
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Le Colisée: Piranèse, Stendhal et Marguerite Yourcenar, à chacun sa façon d’admirer
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Revue Francofonia, Bologne, printemps 1992
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N° 22
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Mémoires d’Hadrien, le hasard et l’histoire
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Revue de l’Amopa (Association des membres de l’ordre des palmes académiques)
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N° 136
|
Marguerite Yourcenar, des voyages et de leur utilité
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Revue de l’Asselaf (Association pour la sauvegarde et l’expansion de la langue française)
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N° 22
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Hommage à Marguerite Yourcenar
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N° 36
|
Marguerite Yourcenar ou la langue
française au summum de sa perfection
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N° 36
|
Un colloque Yourcenar en pays francophone, la Roumanie
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N° 47
|
Le français désincarné
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Cahiers Marguerite Yourcenar 1999
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N° 8
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Marguerite Yourcenar: Etude comparée de la musique
dans les œuvres de Thomas Mann et de Marcel Proust
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Journal des Écrivains du 7e arrondissement de Paris
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N° 22
|
Hadrien, un empereur exemplaire
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N° 26
|
Marguerite Yourcenar, citoyenne du monde aurait cent ans
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N° 30
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Un séjour en Pologne
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Conférences
(Liste non exhaustive)
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Grand Palais à Paris : février-mai 1996
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Un cycle de douze conférences
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Thème : Marguerite Yourcenar : Je serai importante
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Programme :
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1.
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Biographie, autobiographie
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2.
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Une île en Amérique
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3.
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Début prometteur, Alexis ou le Traité du Vain Combat
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4.
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Marguerite Yourcenar, poète
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5.
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Marguerite Yourcenar, dramaturge
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6.
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Marguerite Yourcenar traductrice de Negro Spirituals
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7.
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L’art de la nouvelle : Nouvelles orientales
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8.
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Marguerite Yourcenar essayiste
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9 et 10.
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Le chef-d’œuvre inattendu, Mémoires d’Hadrien
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11.
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Celui qu’elle aimait comme un frère, Zénon
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12.
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Un roman testamentaire, Un homme obscur
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À l’Université Paris IV Sorbonne
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12 novembre 1996
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Marguerite Yourcenar, une humaniste d’exception
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16 mars 1999
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Marguerite Yourcenar, des voyages et de leur intérêt
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18 octobre 2000
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Marguerite Yourcenar et Paris, conférence reprise à la Mairie du 16ème arrondissement
de Paris, le 17 septembre 2003
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11 décembre 2003
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Marguerite Yourcenar, Le spectacle
du monde.
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6 février 2007
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Marguerite Yourcenar, La douleur du monde.
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3 février 2009
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Le savoir sans école: Marguerite Yourcenar
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À l’Université Paris VI Jussieu
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18 novembre 1999
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L’empereur Hadrien, porte-parole de Marguerite Yourcenar
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18 janvier 2001
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Marguerite Yourcenar, sa vie, son œuvre
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23 janvier 2002
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Marguerite Yourcenar, une dramaturgie née de l’emprunt
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23 janvier 2003
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Marguerite Yourcenar et le cinéma
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26 mars 2004
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Sur la grand route : Marguerite Yourcenar et ses protagonistes
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11 janvier 2007
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Marguerite Yourcenar : les emprunts à Breughel
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20 décembre 2007
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Marguerite Yourcenar, de la lettre au
roman
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À L'UNESCO Paris
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28 mai 2009
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L'œuvre de Marguerite Yourcenar
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À Paris Sénat Palais du Luxembourg
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14 novembre 2009
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Marguerite Yourcenar, poète
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À Paris Hôtel de la Représentation Wallonie-Bruxelles Conférence AMOPA
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12 mai 2009
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Marguerite Yourcenar et Paris
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À Paris Mairie du 7ème arrondissement
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14 février 2008
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Marguerite Yourcenar, le goût des voyages
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10 février 2011
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Hommage à Jacqueline de Romilly
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24 octobre 2013
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Petite histoire de la langue française
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À Paris Lycée Buffon
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13 janvier 2009
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Figure de la domesticité dans la vie et l'œuvre de Marguerite Yourcenar
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À Paris Lycée Molière
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15 décembre 2011
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Hommage à Jacqueline de Romilly
repris sous la forme d'une causerie
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À Vaison-la-Romaine
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29 octobre 2000
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La modernité de l’empereur Hadrien, conférence reprise à la mairie du 7ème arrondissement
de Paris, le 11 mars 2004
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À Saint Jans Cappel, Musée Marguerite Yourcenar
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11 mai 2007
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La tragédie écologique
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9 novembre 2007
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Le goût des voyages
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28 mai 2010
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Lire Marguerite Yourcenar trente ans après son élection à l'Académie française
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À Paris Mairie du 16éme arrondissement
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2 octobre 2012
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Jacqueline de Romilly citoyenne du 16émé arrondissement
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Colloques
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Participation à de nombreux colloques et journées d'études (liste non exhaustive)
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Clermont-Ferrand
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15-17 mai 1991
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Marguerite Yourcenar et la Méditerranée
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Bruxelles
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26-28 mars 1992
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La flore, une réalité sacrée
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Tenerife
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17-19 novembre 1993
|
La bibliothèque universelle de Marguerite Yourcenar
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Montréal
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12-15 juin 1996
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Nouvelles orientales, un traité des passions
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Rome
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23-26 septembre 1998
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Paris des horreurs de la Saint-Barthélemy aux honneurs de l’Académie
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Lille
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22 avril 1999
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Marguerite Yourcenar, lectrice de Racine
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Cluj-Napoca
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8-12 mai 2003
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La culture encyclopédique de Marguerite Yourcenar
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Cluj-Napoca
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31 mai 2004
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L'œuvre au noir.
L'Iconographie au service du roman
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Cracovie
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12 avril 2005
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L'Inquisition, ses victimes, leur Saison en enfer dans L'Œuvre au noir de Marguerite Yourcenar
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Paris IV Sorbonne
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9 décembre 2006
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Marguerite Yourcenar : Mozart à Salzbourg
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Activités Stendhaliennes
Dans le cadre de la Société Stendhal Aujourd’hui,
participation à des colloques :
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À l’Université Paris IV Sorbonne
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4 décembre 1999
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Stendhal, Un voyage rétrospectif à la Grande Chartreuse
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À l’Université Paris XII Créteil
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20 novembre 2004
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Le premier Stendhal Émile-Pauline : Lire ou ne pas lire ? Telle est la question
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À l’Université de Tours
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28 juin 2003
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Stendhal lecteur d’Agrippa d’Aubigné, l’estre, le parestre et l’excellent français
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À l’Université d’Örebro
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26 avril 2002
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Stendhal : druides et mégalithes en Scandinavie
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Au Musée de l’Armée Invalides Paris
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17 novembre 2001
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Stendhal, Napoléon, la colonne Trajane et la colonne Vendôme
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À l'UNESCO Paris
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11 mars 2006
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La Muette de Portici Eugène Scribe, librettiste
et dramaturge
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